Immigration clandestine : Trouver des solutions en Afrique
La forte croissance démographique, les compressions budgétaires et l’exode rural ont entraîné une forte croissance de la demande d’emploi dans les pays en voie de développement et avec acuité au Togo.
Aussi les continents démunis sont-ils confrontés à d’énormes difficultés économiques notamment d’emploi induisant un vaste mouvement migratoire du sud vers le nord.
Malheureusement les conditions d’entrée dans les pays d’Europe sont très difficiles et sélectives à tel point que beaucoup tentent clandestinement d’y accéder au risque de leur vie. C’est ainsi que bon nombre d’africains tentent de rejoindre vaille que vaille l’Europe en passant par la mer depuis les côtes africaines ou à travers le désert par la route. Ces aventures se dénouent parfois par des drames (naufrages, noyades, décès, disparitions). L’ampleur du drame suscité par l’immigration clandestine aujourd’hui interpelle toute la communauté internationale (gouvernement, ONG). Des migrations clandestines périlleuses et dangereuses, au cours desquelles on compte de nombreuses pertes en vie humaine.
Malheureusement les conditions d’entrée dans les pays d’Europe sont très difficiles et sélectives à tel point que beaucoup tentent clandestinement d’y accéder au risque de leur vie. C’est ainsi que bon nombre d’africains tentent de rejoindre vaille que vaille l’Europe en passant par la mer depuis les côtes africaines ou à travers le désert par la route. Ces aventures se dénouent parfois par des drames (naufrages, noyades, décès, disparitions). L’ampleur du drame suscité par l’immigration clandestine aujourd’hui interpelle toute la communauté internationale (gouvernement, ONG). Des migrations clandestines périlleuses et dangereuses, au cours desquelles on compte de nombreuses pertes en vie humaine.
En 2016, les statistiques de l’Organisation internationale pour les migrations (OIM) font état de 7 495 victimes et 40,5% des décès enregistrés sur les trois années précédentes. Pour le compte de l’année 2017, on dénombre plus de 150 000 immigrés africains arrivés sur le sol européen selon les chiffres de l’OIM.
Et l’on estime que plus de trente (30) millions de jeunes africains dont l’âge est compris entre 18 et 25 ans seraient prêts à risquer leurs vies pour essayer d’immigrer en Europe.
Face à cette situation dramatique caractérisée par la perte de nombreuses vies humaines et la pauvreté, il est impérieux de revaloriser le capital humain à travers la création d’emplois et la relance de la production.
Et l’on estime que plus de trente (30) millions de jeunes africains dont l’âge est compris entre 18 et 25 ans seraient prêts à risquer leurs vies pour essayer d’immigrer en Europe.
Face à cette situation dramatique caractérisée par la perte de nombreuses vies humaines et la pauvreté, il est impérieux de revaloriser le capital humain à travers la création d’emplois et la relance de la production.
M. KOUMONDJI K.
Cette demande ne peut être satisfaite que par des entreprises du secteur structuré et du secteur informel. C’est pourquoi l’investissement privé et l’innovation technique demeurent les principaux moteurs de la croissance, de l’emploi et du revenu du travail à travers un programme intégré d’insertion et réinsertion socioprofessionnelle des couches défavorisées sans emploi.
A ce titre, le développement des opportunités pour la création de revenus stables, l’insertion et la sécurité matérielle s’imposent à toute stratégie de réduction de la pauvreté. La vulgarisation de la culture entrepreneuriale devient, dès lors, un élément essentiel pour parvenir à une croissance forte et durable de l’économie.
L’Afrique est un réservoir de ressources naturelles représentant au moins 20% des réserves du monde. Mais c’est aussi le continent le plus « pauvre » dont le poids dans l’économie mondiale ne représente qu’à peine 2%. Tout peuple qui veut se développer doit tirer parti de ses potentialités au lieu de les occulter tout en les intégrant dans un projet plus large de nation ou de groupes de nations. La vision planétaire de notre monde s’impose donc à tous et met en évidence l’interdépendance et la fragilité des systèmes longtemps considérés comme référence universelle du progrès et de la stabilité sociale. La valorisation du travail de tous et de chacun peut libérer le potentiel et le génie créateur de la nation, et faire tomber les barrières de discrimination et d’exclusion.
Etat, secteur privé et société civile sont des partenaires incontournables en développement, qui ne peuvent ni ne doivent s’ignorer mutuellement. Gouvernants, opérateurs économiques, acteurs de développement, de part le monde, nous vous exhortons à miser sur l’Afrique, comme un futur possible et un pôle certain de développement pour ce troisième millénaire. Ensemble, relevons ces défis.
L’Afrique est un réservoir de ressources naturelles représentant au moins 20% des réserves du monde. Mais c’est aussi le continent le plus « pauvre » dont le poids dans l’économie mondiale ne représente qu’à peine 2%. Tout peuple qui veut se développer doit tirer parti de ses potentialités au lieu de les occulter tout en les intégrant dans un projet plus large de nation ou de groupes de nations. La vision planétaire de notre monde s’impose donc à tous et met en évidence l’interdépendance et la fragilité des systèmes longtemps considérés comme référence universelle du progrès et de la stabilité sociale. La valorisation du travail de tous et de chacun peut libérer le potentiel et le génie créateur de la nation, et faire tomber les barrières de discrimination et d’exclusion.
Etat, secteur privé et société civile sont des partenaires incontournables en développement, qui ne peuvent ni ne doivent s’ignorer mutuellement. Gouvernants, opérateurs économiques, acteurs de développement, de part le monde, nous vous exhortons à miser sur l’Afrique, comme un futur possible et un pôle certain de développement pour ce troisième millénaire. Ensemble, relevons ces défis.
